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     Réglementation de la safety car : Une solution avec l'ECU ?

    La Fédération Internationale de l’Automobile envisagerait d’utiliser l’ECU – le boitier électronique standard que possèdent toutes les équipes de Formule – comme solution à la très controversée réglementation sur la voiture de sécurité, rapporte ''Autosport.com'' ; même si ce changement ne devrait pas voir le jour avant juillet.

    Depuis le début de la saison, des pourparlers sont en cours pour modifier l’un des articles du règlement portant sur la voiture de sécurité : celui qui veut que l’accès à la pitlane soit momentanément interdite au début de l’entrée en piste de la safety car – Nick Heidfeld et Heikki Kovalainen en ont déjà fait les frais cette année...

    De nouvelles négociations ont d’ailleurs eu lieu en Turquie, après que la course de Nick Heidfeld en Espagne ait été ruinée à cause de cette partie du règlement. Pendant que la voiture de sécurité était en piste, et alors que la pitlane était fermée, l’allemand avait dû rentrer aux stands pour ravitailler sans quoi il serait tombé en panne d’essence. Cependant, les commissaires n’ont pas tardé à le sanctionner pour cette infraction.

    Toutefois, aucun accord n’a été trouvé à Istanbul, mais des sources ont révélé qu’une proposition a été posée sur la table et que la FIA est en train d’analyser cette possibilité.

    L’idée serait d’utiliser l’ECU pour informer les pilotes de la manière dont ils peuvent rapidement regagner les stands une fois que la voiture de sécurité a été déployée en piste. Bien que l’introduction d’un tel système n’est pas facile, les experts informatiques de la FIA pensent qu’il est possible de le mettre au point.

    Néanmoins, cette solution devra être testée avant d'être utilisée sur un Grand Prix – c’est la raison pour laquelle un tel projet ne verra pas le jour au plus tôt avant le Grand Prix de France, en juillet.

    Cela signifie que la réglementation de la voiture de sécurité restera en vigueur pour les Grand Prix de Monaco et du Canada – deux courses où il est fort probable que la safety car soit amenée à descendre en piste.


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  • Schumi va débuter chez les pros : Sous un faux nom !

    Michael Schumacher disputera pour la première fois une course professionnelle de deux roues. Ce sera ce week-end à Oschersleben qui accueillera une épreuve du championnat allemand de Superbike.

    Mais pour éviter de se faire – trop – remarquer, le journal allemand ''Bild'' rapporte que le septuple champion du monde s’est inscrit sous un faux nom : Marcel Niederhausen, soi-disant originaire de Stuttgart ! Officiellement, personne ne veut confirmer cette information.

    Michael Schumacher devrait faire ses débuts chez les professionnels au sein de Holzhauer Racing – l’équipe du champion en titre de Superbike allemande, Martin Bauer.

    Noter que l’allemand connaît bien le tracé d’Oschersleben où il y a déjà couru à trois reprises sur différentes motos.

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  •  Stricte équité chez Ferrari : Domenicali le réaffirme

    L’époque où Michael Schumacher était le pilote numéro un de la Scuderia Ferrari a bien changé. Depuis le départ du septuple champion du monde, l’équipe de Maranello prône l’équité entre Kimi Räikkönen et Felipe Massa – comme le rappelle une nouvelle fois Stefano Domenicali, Responsable de la Gestion Sportive du Cheval Cabré.

    Malgré un début de saison catastrophique – en abandonnant en Australie et en Malaisie, Felipe Massa s’est bien rattrapé, inscrivant vingt-huit points sur trente possibles lors de ces trois dernières courses. De son côté, Kimi Räikkönen est davantage régulier et possède une avance de sept points sur son équipier au championnat.

    Néanmoins, il est légitime de savoir quand Ferrari choisira-t-elle son pilote numéro un cette saison. Dans un entretien accordé à la publication suisse ''Motorsport Aktuell'', Stefano Domenicali indique ce que sujet n’est pas encore à l’ordre du jour.

    « Jusqu’à présent, nous ne voyons aucune raison de changer notre situation. Il n’y a pas de décisions tactiques en ce qui concerne le championnat. Les intérêts de l’équipe priment. Si nous devons changer notre approche, ce sera ultérieurement dans la saison, » déclare l’italien.


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  • 1
    Kimi RAIKKONEN Ferrari 35
    2
    Felipe MASSA Ferrari 28
    3
    Lewis HAMILTON McLaren Mercedes 28
    4
    Robert KUBICA BMW Sauber 24
    5
    Nick HEIDFELD BMW Sauber 20
    6
    Heikki KOVALAINEN McLaren Mercedes 14
    7
    Mark WEBBER Red-Bull 10
    8
    Fernando ALONSO ING Renault F1 9
    9
    Jarno TRULLI Toyota 9
    10
    Nico ROSBERG Williams 8
    11
    Kazuki NAKAJIMA Williams 5
    12
    Jenson BUTTON Honda 3
    13
    Sébastien BOURDAIS Toro Rosso 2
    14
    David COULTHARD Red-Bull 0
    15
    Giancarlo FISICHELLA Force India 0
    16
    Adrian SUTIL Force India 0
    17
    Anthony DAVIDSON Super Aguri 0
    18
    Takuma SATO Super Aguri 0
    19
    Rubens BARRICHELLO Honda 0
    20
    Nelson PIQUET ING Renault F1 0
    21
    Sebastian VETTEL Toro Rosso 0
    22
    Timo GLOCK Toyota 0




    1
    Ferrari 63
    2
    BMW Sauber 44
    3
    McLaren Mercedes 42
    4
    Williams 13
    5
    Red-Bull 10
    6
    Toyota 9
    7
    ING Renault F1 9
    8
    Honda 3
    9
    Toro Rosso 2
    10
    Super Aguri 0
    11
    Force India 0

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  •  Montezemolo est ravi : « Je suis fier de mon équipe »

    Dans un entretien accordé à ''Spy'', Luca di Montezemolo – Président de Ferrari – confie qu’il est très satisfait du début de saison de son équipe. Après cinq Grand Prix disputés, l’équipe de Maranello mène actuellement les deux championnats du monde avec une confortable avance.

    « Ici, on s’habitue toujours à tout. Nous avons remporté quatre courses sur cinq cette année, alors qu’il y a des grands constructeurs automobiles qui sont depuis des années en Formule 1 et qui n’ont toujours pas remporté une seule course, » déclare l’italien.

    « Je crois donc que nous devons être fiers de nos gars et de notre équipe. Nous sommes en tête du championnat des constructeurs et de celui des pilotes. Hier, j’ai passé la journée avec nos techniciens à Maranello. Nous devons continuer à travailler, parce que tout se joue aux centièmes de seconde – même pas en dixièmes. C’est un travail difficile, mais nous sommes très fiers, je suis très fiers de nos gars. »


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